Préface : Plus fort que la mort, l'attirance. The Beguining
Avez vous deja eu l'impression de construire un monde utopique ? Un monde où l'on se lie d'amitiés fortes sincères et durables. Un monde où l'on à un toit au dessus de sa tête, un repas assuré, un famille qui vous aimes. Un monde où l'on rencontre une personne qui vous berce de bonheur et d'affection ? Moi oui j'ai eu cette illusion. Je vivais un bonheur inexplicable, inée, formidable. Avoir la sensation de se sentir aimé et aimé la personne qui vous aimes, vous donne un sentiment de puissance et de vie incroyable. On croit que rien peut vous arriver, que vous êtes indestructible...On vit à travers cette amour, cette amour tellement fort que croit-on que même la mort aurait du mal à effacé. Donc on vit a travers cette personne, puis on oublie tout le reste, les amitiés fortes et sincères, la famille, le toit, le repas. Vivre dans ses bras, mourir dans ses bras .Plus rien n'as d'importance, vous vous réveiller chaque matin enlacé contre son corps brulant avec la certitude qu'il vous fera vivre et vous procurera l'oxygène indispensable à votre survie, il vous à promis de vous aimé jusqu'à la mort , alors vous commencé à construire votre vie autour de cet être divin, vous fait multiples projets d'avenir en tenant compte de cette promesse qu'il vous à fait jusqu'à la fin . Les liens se consolident , on s'isole et on se découvre, on s'aime, on s'aime. Le monde pourrait s'écrouler, cet amour si fort et si intense ne pourrait s'éteindre. Seulement il y a plus fort que la mort, il y a l'attirance pour une autre personne, puis des sentiments, puis l'amour pure et dure. Le plus dure est d'accepter de suivre l'évolution des sentiments envers la personne désastreuse, les voir se rapprocher, s'enlacer puis s'embrasser. Le monde dans lequel on s'étaient aimé a vivre bascule, on reviens a la réalité, la descente est brutale et douloureuse. Le paradis auquel on a été invité s'est soudainement rompu et à disparu. Les choses routinières ne se font plus que seule, les projets se dispersent et sont jetés aux oubliettes. Les nuits où l'on ne peux plus dormir seul, les mélodies qu'on ne peux plus écouter sans pleuré. Avez vous eu l'impression que plus rien n'avez d'importance, que chaque matin aucunes raisons vous poussé à vous lever, la respiration malade et les sens fatigués ? Et si vous y arriver, ces jours vous paraissent tellement gris, ternes et sans intérêt que vous preferé vous recoucher en attendant votre mort. C'est en ces instants que vous vous retrouver confronter à vous même aprés avoir oublié que l'on vit finalement que pour soi et que tout va trop vite.
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Il était dix heures, la rentrée venait de commencer, cela ne faisait que ma cinquième année au lycée . Je sortais de ma salle de cours afin de rejoindre mes amies, m'en pressant de raconter les premiers ragots sur la première journée de cours. Je m'ajustai derrière le portail de la dérision où clope, pétard & alcool tournés à n'en plus pouvoir. Avec impatience j'attendais Camille , elle s'était colorée tout les cheveux en rose paraissais t-il... Soudain la voilà, avec ses cheveux rose fushia. C'était magnifique, j'était éblouie, mais cette éclat s'amplifia car je fut soudainement detourné de sa chevelure éblouissante pour posé mon regard sur Lui. Il était là, posé contre le portail, la clope à la main, avec une classe naturel et un charme inégalable, degagant un air triste et dépressif, je dirait même qu'il me semblais paumé voir souffrant. Androgynement dépravé & soigné à la fois qui dit "je vous emmerde" mais au fond est bien sensible à ce que pense les autres. Ses cheveux en bataille devant ses yeux le rendait tout simplement captivant & mysterieux, que cherchait t-il à cacher de son regard, son âme, peut être un passé douloureux, un vécu trop tourmenté ? Ses mains, me bouscula dans des rêveries loin d'être innocente, ses traits fins et délicats correspondé à l'homme que j'avais toujours imaginé. D'innombrables question me venait en tête, je savais que cet être avait quelque chose dont je pouvais m'attacher et ne plus jamais m'en défaire. Je tombai amoureuse en une fraction de seconde, sans même le connaitre. Un seul regard m'a permis de tout savoir sur lui. En pleine léthargie et d'émotion, j'essayer de revenir à la raison, mais j'été troublé, je pouvais plus me contrôlé. Personne ne semblai se soucier de cet arrêt que j'ai eu d'un millième de seconde qui m'a pourtant parut durer une éternité.
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Les jours passaient, et plus mes sentiments s'intensifiaient, je le scrutait là, le dévisageait quand il tourner le regard. Mon corps subissait des palpitations extrêmes, les mains moites, j'étais toujours en transe J'imaginais le jour où je pourrait lui dévoiler tout ce que je pouvais ressentir. Chaque fois qu'il s'approchait où me croisait dans les couloirs, de battements de c½ur irrégulier j'étais soudainement frappée. Je savais qui il était, que je saurais trouver en lui ce que j'ai toujours voulu et ce qui me manquer, je savais que je pouvais concevoir avec lui une histoire. Je localisais les salles où il se trouver et sortais à chaque fois en retard pour espérer l'apercevoir et qu'il me décroche enfin un regard. Mes amies raient, mais cela n'avaient pas d'importance, je jouais dans l'ignorance, mon esprit était envahie par Lui, je ne pensais plus qu'a ça, Jour et nuit. Les jours où je ne le voyais pas, ces jours semblaient tristes et ennuyeux voir sans intêret, le vide m'habita. Le pire fut quand, arrivèrent les vacances de la toussaint. me dire que je ne pourrai pas le voir pendant deux semaines. Il me mettait sans s'en rendre compte de la vie dans mon coeur Je regardais ces groupies, mouiller à chaque fois qu'il passait à coté d'elles, je me suis dit que je n'étais comme elles, que ce n'était pas que physique et superficiel. Que j'avais ma chance malgrés moi, à reussir à faire sa connaissance. Je décidai donc un jour, d'essayer d'avoir une petite place dans son c½ur, qu'il sache qui je suis et combien il étais vitale pour moi. Après multiples déclarations de sentiments envers mes amies vis a vis de lui, Une me donna l'occasion de lui parler. Emeline, via msn *Vive l'évolution de la communication* Je rentrais donc l'adresse, aprés quelques semaines d'attentes interminables avant qu'il se connecte, je lui adressa le premier mot anodin dénué de sens, *Coucou*. Pas de réponses.
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La suite de notre conversation se prolongea un autre jour, une semaine plus tard, sur msn. C'était un vendredi soir, avec Camille, nous devions ce jour là aller au Vegas. Connecté, je lui adressa encore un bidon * Coucou *. Et là, je reçu un autre bidon * Coucou * suivit d'un * qui est tu ? *, je lui proposait de mettre ma webcam afin de ne pas tourner autour du pot & d'avoir le plaisir de constater sa réaction virtuel. La conversation se prolongea avec des mots complétement banales, puis je ne savais pas quoi dire, j'étais telement génée... Le mot fin de cette intercation était de sa part * Vous avez l'air charmantes *. Camille & moi étions folles de joie, mélée à un entrain de jalousie puisque je l'avais entrainé dans la chasse à Paul, mais qu'elle aussi était raide, dingue de ses atraits. Conversation terminée, une fois en boite, je larguais cette chose appelé copain pour m'investir totalement dans mes sentiments naissant. Mais quelque chose me tracassait, j'étais jalouse de Camille, j'avais une peur bleue qu'elle soit choisis, alors j'eu pendant un instant le sentiment qu'une rude concurence se préparé et pouvait tout faire foirer.
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Ce fut la suite de mon histoire, d'inombrables conversations interminables sur Msn, parlant de la vie, des erreurs commises, des trahisons dont on est été victimes dans le passé. De nombreuses choses nous rapprochés. j'eut le sentiment que je ne m'été absolument pas trompés sur la personne qu'il pouvait être. Plus je parlait avec lui, plus j'avais envie de le connaitre. Il fut aussi le temps où on se croisés encore dans les couloirs du lycée, le frolant presque et n'osant pas lui dire bonjour. Plusieurs semaines s'étaient déroulées et le contact de nos joues ne s'étaient toujours pas fait. Un jour, où je le vis dans le batiment A, un courage surhumain m'élança. Et à cet instant, le monde froid & sans interet dans lequel je vivais depuis déjà trop longtemps se dissipa et laissa la place à un monde où il ne rester plus que lui et moi. Je m'avançais vers lui et lui fis la bise, le premier contact, son odeur, sa peau, suivit de sa voix d'ado à semi mué qui m'adressa un vulgère * ça va ? *. Tout s'est passé trés vite, mais la seconde où ma joue toucha la sienne, ce fut un reversement terrible, je marchai dans du coton, des étoiles étaient figé au dessus de ma tête, je me sentais ivre et bête.
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Je n'est jamais reussi à lui parler plus de deux secondes. Je decidai donc de lui demander de venir passer un aprem avec Cassou, Moi & Emilie, afin de vraiment faire sa connaissance. Il accepta. Je lui avait auparavant fait part de ma peur vis -a-vis de lui, il me terrifiais, j'avais l'impression que n'aurais jamais été à la hauteur de ses esperances, je ne voulais pas connaitre son jugement,car pour moi il était vitale & essentielle qu'il soit positif. Camille evincer de la partie, je ne lui avais rien proposé, cela devait resté secret puisque la concurence était rude. Ce jour debuta donc, je le vis là, assis, fumant sa clope, je decidais de l'accoster pour ce temps qu'il avait gentillement accepter de m'accorder en ce mercredi Ce fut bref, marqué par une phrase déclarative * Si tu viens toujours on s'attend là, je vais manger avec elles.*. Inutile d'enoncer le stress dés la fin du repas qui m'obligea à terminer mon asiette trés lentement afin d'évacuer ce trop plus d'émotion, mais plus je repoussai le moment plus la tension était palpable. A la sortie du self, pas de Paul.. Ok, me dis-je, aprés avoir vérifier la Mdl, le devant du Grand Coudret & les alentours, j'allais regarder derrière le Grand Coudret mais je ne le vis toujours pas. C'est à ce moment là que j'ouvris ma bouteille de Vodka & le mélangea au Redbull *Détail Inutile*. Et Cassou m'annoncea avec fermeté que Paul était assis devant nous sur les marches avec son meilleur ami Robin, Cassou lui fit donc signe de venir avec nous. Un long moment se déroula avant même qu'il vienne nous rejoindre, lambiance était tendue, personne ne parlais mis à part Cassou. Je me souviens avoir mis ma capuche chat afin de le regarder secrètement sans qu'il ne s'en aperçoive. A cet instant Emilie se leva et ceda la place pivilège à coté de moi pour Paul mais Paul ne semblais s'en soucier et alla s'assoir à l'opposé. Conversation stériles. Heureusement. Cassou à sauvé notre premier rendez-vous, si je puis dire.Mais elle devait partir bien avant Moi, d'ailleurs on la raccompagnais devant le lycée, c'était le prix que j'avais à payer aprés avoir loudement insisté pour qu'elle reste à me cotés afin d'engager quelques conversations. Arrivé au portail, Paul me regardais & là je vis son regard qui était jusqu'a present cachés par ses cheveux, son visage entier fut decouvert, je recu une longue decharge d'adrenaline dans tout le corps, ma pensée fut *Mon dieu ce qu'il est beau*. Une fois de retour derrière le lycée, la Mdl nous faisais envie, avec ses canapés moelleux & son chauffage luxueux. Alors nous nous dirigions vers celle-ci. Au moment de s'asseoir Paul s'avachis sur la table & ne parlais plus, il était maintenant entouré que de ces Amis & non des miens je me sentais seule, cette sensation était soutenue par ma chaise qui était à l'écart des autres. Il se leva d'un coup, sortis de la Mdl et posa sa gallette plus loin dans les buissons. Quelques minutes plus tard, l'heure sonné l'arrivée de mon bus & l'entrée à l'internat pour lui. Il me raccompagna devant le lycée. Posés sur le banc, aucun son ne sortais de notre bouche, toujours ce silence macabre omnipresent. J'avais la sensation qu'il arriver à percevoir tout ce que je ressenter pour lui, j'avais jamais eu envie d'embrasser quelqu'un aussi intensement, ce que je n'est pas manqué de lui dire le soir par sms, la réponse qu'il me donna fut *Moi aussi* .
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Une atmosphère sereine m'habita suite au message reçu qui m'élança d'une joie instantanée. Je m'endormais avec l'ecran de l'ordinateur illustré d'une photo de Paul aux cheveux rouge. La nuit fut agité, je ne pensais qu'à cette merveilleuse journée, et à cette aveux auquel je ne pouvais y croire. Le lendemain, il madressa un Bonjour plus qu'Anodin, déçu ? Peut être, puisque je m'attendais à ce qu'il fasse le premier pas. Sonant la fin des cours un Mardi aprés-midi, je rejoignais Emilie à la Mdl, puisque je l'avait prié pour qu'elle reste avec moi de 4h à 6h afin de pouvoir parler à Paul. Je reçu un message *Tu est posé où ?*, à ce moment trés precis, j'eu un enorme pic au coeur, je redoutais ce moment mais en même j'en avait tellement envie depuis si longtemps, je répondis *à la Mdl*, il allait arriver d'un moment à un autre, je perdais tout mes moyens, deversant toute ma joie et mon stress sur Emile. *Le voilà qui arrive* me dit-elle, mon sang ne fut qu'un tour, mon coeur enchainé de palpitation extrême, je le voyais arriver à moi pour finalement tourner à coté de la salle Musique. Une pression apparu puisque j'en conclue qu'il fallait que j'aille encore l'acoster, Emilie m'y poussa car je n'osais pas, elle me menaçé de tout lui avouer si je n'allais pas lui parler, d'ailleurs je la remercie. Car sans elle je n'aurais pas pu y arriver. Pour repousser le moment, je proposai à Emilie d'aller jeter un coup d'oeil avant de faire quoi que ce soit à notre éphigie, afin de déjà m'assurer qu'il été bien seul. La question ayant eu une réponse , je m'avancait doucement en sa direction, je le voyais vautré par terre seul, mais plus je marchais, plus je voyais de nombreuses personnes autour de lui... Je pris donc les devant, même si sur le coup je me sentai légèrement con, *Tu viens!* accidentellement d'un ton sec et repoussant demandai-je. Il me suivit jusqu'à notre table, où je me rassis de nouveau. Personne ne parler mis à part Emilie qui avait une forte envie de rire de cette situation. Elle se senti de trop ou devait elle vraiment rentrer ? Bref, Elle decida de partir. On y été, le moment tant attendu se rapprocher, qu'allais t-il se passer ? Des milliards de questions se bousculer dans ma tête, je faisait attention à chacun de mes gestes, de mes regards, à chaque paroles, même si rares étaient elles, j'avais qu'une hate, qu'il m'embrasse.
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